Le palmier

Le palmier n'est pas un nouveau restaurant à Tours. Il existe depuis plusieurs années et les amateurs de cuisine marocaine le connaissent bien.

Premier atout : un cadre agréable où l'on ne se sent pas à l'étroit comme c'est malheureusement souvent le cas dans les restaurants.

Deuxième atout : une cuisine de qualité avec une semoule FINE qui demande beaucoup plus de préparation que la semoule moyenne.

Hier soir, Peggy et moi sommes donc allées dîner au Palmier. Le temps froid se prêtait à la dégustation d'un bon couscous. Nous y avions déjà mangé il y a quelques années.

Le restaurant a changé de propriétaire depuis. Il a été repris par l'ancien propriétaire du Médina, restaurant marocain qui se situait dans la rue du Grand Marché.

C'est une adresse que je vous recommande si vous appréciez la cuisine orientale !

À savoir : ils ont conservé sur la carte le Tajine Médina, un délice.

Voici le lien de leur site pour découvrir le cadre et les menus.

Bon appétit !

 

Cap au sud !

Découverte hier soir d'un restaurant situé rue Colbert : Cap sud. Le cadre est sobre mais raffiné, il n'y a pas de superflu. Les murs, agrémentés de toiles aux couleurs vives et aux formats variés, sont gris souris et les poutres rouges. Nous sommes accueillis par deux jeunes serveuses à la tenue vestimentaire d'une grande sobriété également ( jupe noire et chemisier rouge).

Nous avons le choix entre le menu à 22 euros (deux plats) ou celui à 26 euros (trois plats). Nous optons pour deux plats.

Ce qui nous est proposé sort vraiment de l'ordinaire, tout est raffinement et étonnement. Les plats sont chacun une petite œuvre d'art que l'on ose à peine toucher. Ici, on ne mange pas, on déguste.

Il y a des mélanges surprenants au palais, on s'interroge parfois, bref, on va de surprise en surprise.

Nous avons été enchantés par notre repas. Un petit bémol pourtant : les portions sont peut-être un peu congrues - avis aux gros mangeurs, prenez le menu à trois plats !-.

Julie s'est finalement laissée tenter par un troisième plat (le dessert).  

Je conseille cette adresse à ceux qui aiment découvrir des nouveautés culinaires.

Le chef, Gilles Hémart, tient un blog que vous pouvez consulter ICI. Cela vous donnera un aperçu de ce qui est proposé.

Bon appétit ! 

Le casse-cailloux

J'ai testé hier un restaurant situé 26 rue Jean Fouquet, le "Casse-cailloux". 

Intérieur sobre mais raffiné, les tables ne sont pas serrées à l'extrême, ce qui présente l'avantage de pouvoir parler normalement sans craindre que les voisins entendent la conversation. Le restaurant propose un menu à 22 ou 26 euros, variable suivant la saison et l'arrivage des produits.

Nous étions trois. En entrée j'ai pris une terrine de pieds de porc et poires tapées, nappée d'un coulis de ...( j'ai oublié !) et servie avec une petite salade, le tout présenté sur une planchette.

Ensuite j'avais une brochette de saint-Jacques accompagnée d'une purée maison et nappée d'une sauce au bacon. Un mélange étonnant mais très savoureux !

En dessert, j'ai pris des figues fraîches rôties sur un jus de vin rouge et accompagnées d'une glace aux amandes. Le mélange était sublime !

Nous avons terminé la soirée dans le petit jardin extérieur, à l'arrière de la maison, où nous avons pris le café tout en fumant tranquillement.

Un restaurant qui propose une cuisine raffinée à un prix relativement abordable. Dommage qu'il soit situé dans un quartier aussi tristounet !

 

Gueules de chefs -8-

Nous arrivons au terme de cette présentation culinaire.

Nous sommes chez Bernard Charret qui tient le restaurant Les chandelles gourmandes à Larçay, près de Tours.

Aspect extérieur :

Dans les assiettes :

Hum, c'est bien appétissant ! Sur son site, le chef indique le nom de tous les producteurs chez lesquels il se fournit. Cela me rappelle une anecdote croustillante d'un restaurateur tourangeau de grand renom qui avait été épinglé car il avait acheté certains de ses produits en grande surface.

Au prix où sont les repas, je trouve que c'est une faute impardonnable et c'est un manque total de respect vis-àvis du client.

De plus amples informations sur Les chandelles gourmandes ICI.

Gueules de chefs -7-

Quittons Tours et dirigeons-nous maintenant vers l'est, sur la rive droite de la Loire. Lorsque l'on passe à Rochecorbon, on peut apercevoir, à flanc de côteau, un très bel établissement : il s'agit du domaine des Hautes Roches.

Aux fourneaux,   Didier Edon. Malheureusement, je n'ai trouvé aucun lien spécifique sur les menus. Alors, qu'y a-t-il de bon dans les assiettes ? Mystère 

Entrons quand même par curiosité : 

Dadavidov et Matfanus, sachez que si vous m'y invitez, je ne dirai pas non !