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vendredi, 09 décembre 2011

Pour les férus d'histoire locale

 "La bibliographie portant directement sur l’histoire et le patrimoine historique de la Touraine compte certainement une dizaine de milliers d’études dignes d’intérêt, dont quelque 2 000 ont été publiées dans les bulletins et mémoires de la Société archéologique de Touraine, depuis 1842.

 

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Né du constat d’une sérieuse lacune, celle concernant les outils permettant d’approcher et d’exploiter cette masse énorme de documentation, en bibliothèque, ce livre s’efforcera de guider les pas des lecteurs curieux ou studieux, des chercheurs amateurs et des étudiants entrés dans cette démarche de connaissance.

 

Outre un aperçu de ce qu’est l’histoire locale, de la problématique de ses recherches et de ses méthodes du travail en bibliothèque, des connaissances utiles pour établir une bibliographie ou préparer une publication, il fournira des pistes, des clés pour entrer dans sa curiosité ou sa recherche. On y trouvera des bibliographies thématiques, signalant les essentiels du domaine, l’inventaire des fonds d’imprimés accessibles en Touraine et sur ses confins, comme des périodiques locaux à consulter en priorité. Seuls ses utilisateurs pourront dire si ce guide leur a été utile, c’est en tout cas le souhait affiché par son auteur, et par la Société archéologique de Touraine qui en assure l’édition."

 Daniel Schweitz est bibliothécaire de la Société archéologique de Touraine, membre de l’Académie […] de Touraine, docteur en anthropologie sociale et historique (EHESS), l’auteur a publié plus de cent études archéologiques et ethnohistoriques concernant l’histoire et les patrimoines de la Touraine, du Vendômois et du Val de Loire. Ces dernières ont notamment porté sur divers aspects de la culture matérielle préindustrielle, sur la vie domestique traditionnelle, et dernièrement l’émergence des identités locales, l’érudition autochtone et ses sociétés savantes.

Voici donc un outil fort utile pour tous ceux et celles qui effectuent des recherches historiques.

Ce livre est disponible dès à présent à la bibliothèque de la Société archéologique de Touraine, au prix de 20 euros.


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mercredi, 07 décembre 2011

Le 7 juin 1971

Le 8 juin 1971, dans le journal local, on put lire cet article :

« Les pelouses de la Faculté des Lettres du parc de Grandmont ont été hier après-midi le point de rassemblement d’un millier de personnes (on reconnaissait des étudiants, mais aussi des familles en promenade avec leurs enfants), à une mini-représentation d’une douzaine d’acteurs et d’actrices du « Grand Magic Circus ».

Cette troupe professionnelle de la capitale n’était pas venue à Tours dans le cadre d’une quelconque tournée de représentations en province. Sa venue s’inscrivait dans une suite d’actions qu’entend mener le « groupe d’action contre la censure » créé à la suite de la campagne lancée par M. Royer contre la pornographie. Aussi le spectacle s’en est-il ressenti. En fait, il n’a rien eu de commun avec les créations habituelles du « Grand Magic Circus » : les sketches qu’il comportait avaient pour but d’illustrer la censure.

Pour la circonstance, les acteurs avaient revêtu une tenue mi-militaire, mi-policière : treillis et casques. Ainsi costumés, ils ont improvisé quelques scènes qui – rehaussées d’une musique pop -  ont abouti au déshabillage complet d’une partie de la troupe, ainsi que de trois ou quatre personnes prises dans les rangs du public.

Tandis que tout le monde se rhabillait, une fanfare d’amateurs se joignait à l’orchestre du Grand Magic Circus pour poursuivre cette « kermesse » de plein air par des danses collectives. Mais la majeure partie de l’assistance, peu à peu, désertait. À la tombée de la nuit, il ne restait plus personne. Il n’y eut aucun incident.

Simultanément, à l’écart  des cuivres et des instruments à percussion, des organisateurs  de la journée expliquaient leur mouvement et annoncèrent une campagne d’explications. » 

J’avais quitté la fac de Lettres un an auparavant, mais cette histoire était parvenue jusqu’à mes oreilles. Cela avait fait grand bruit dans la tranquille ville de Tours ! 

Je vous entends d’ici : « quel dommage qu’il n’y ait pas de photos de l’évènement ! »

Mais si, bien sûr, il y a des photos !

Pour redonner un peu vie à ces clichés, mettons un bon vieux Rolling Stones pour recréer l’atmosphère. Vous êtes prêts ?


podcast

Allez, c’est parti !

Clichés de Paul Martinaud :

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Vous vous reconnaissez peut-être sur l’une de ces photos, que vous soyez étudiant assis dans l’herbe, danseuse quelque peu dénudée, danseur à lunettes –qui d’ailleurs les perd à la fin- ou bien encore le petit futé caché dans l’arbre,bref , n’hésitez pas à me contacter !

Pour ma part, je reste un peu sur ma faim ; en effet, j'aurais bien aimé voir le danseur de face !

mercredi, 23 novembre 2011

Ouverture de l'Artelier

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Papadom est un jeune céramiste tourangeau installé depuis quelques années à Saint-Etienne-de-Chigny.

Il nous convie au vernissage de  son nouvel atelier situé à Tours, 3 rue Jolivet,  le samedi 26 et le dimanche 27 novembre, de 10h à 19h.

Une bonne occasion de découvrir ses réalisations très originales !

Un aperçu de son travail en photos : 


PapaDom expo par cheztinou

mercredi, 27 juillet 2011

Le palmier

Le palmier n'est pas un nouveau restaurant à Tours. Il existe depuis plusieurs années et les amateurs de cuisine marocaine le connaissent bien.

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Premier atout : un cadre agréable où l'on ne se sent pas à l'étroit comme c'est malheureusement souvent le cas dans les restaurants.

Deuxième atout : une cuisine de qualité avec une semoule FINE qui demande beaucoup plus de préparation que la semoule moyenne.

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Hier soir, Peggy et moi sommes donc allées dîner au Palmier. Le temps froid se prêtait à la dégustation d'un bon couscous. Nous y avions déjà mangé il y a quelques années.

Le restaurant a changé de propriétaire depuis. Il a été repris par l'ancien propriétaire du Médina, restaurant marocain qui se situait dans la rue du Grand Marché.

C'est une adresse que je vous recommande si vous appréciez la cuisine orientale !

À savoir : ils ont conservé sur la carte le Tajine Médina, un délice.

Voici le lien de leur site pour découvrir le cadre et les menus.

Bon appétit !

 

samedi, 02 avril 2011

Cap au sud !

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Découverte hier soir d'un restaurant situé rue Colbert : Cap sud. Le cadre est sobre mais raffiné, il n'y a pas de superflu. Les murs, agrémentés de toiles aux couleurs vives et aux formats variés, sont gris souris et les poutres rouges. Nous sommes accueillis par deux jeunes serveuses à la tenue vestimentaire d'une grande sobriété également ( jupe noire et chemisier rouge).

Nous avons le choix entre le menu à 22 euros (deux plats) ou celui à 26 euros (trois plats). Nous optons pour deux plats.

Ce qui nous est proposé sort vraiment de l'ordinaire, tout est raffinement et étonnement. Les plats sont chacun une petite œuvre d'art que l'on ose à peine toucher. Ici, on ne mange pas, on déguste.

Il y a des mélanges surprenants au palais, on s'interroge parfois, bref, on va de surprise en surprise.

Nous avons été enchantés par notre repas. Un petit bémol pourtant : les portions sont peut-être un peu congrues - avis aux gros mangeurs, prenez le menu à trois plats !-.

Julie s'est finalement laissée tenter par un troisième plat (le dessert).  

Je conseille cette adresse à ceux qui aiment découvrir des nouveautés culinaires.

restaurant, cuisine, gilles hemart,cap sud, toursLe chef, Gilles Hémart, tient un blog que vous pouvez consulter ICI. Cela vous donnera un aperçu de ce qui est proposé.

Bon appétit !