lundi, 21 août 2006
Tours en été
Peu à peu les Tourangeaux réintègrent leur ville. Ça sent la rentrée, le temps y est sans doute pour beaucoup !
Profitons donc de ces derniers instants de répit avant l'agitation quotidienne de la ville.
Le haut de la rue Nationale a des allures de Côte d'Azur.
Ah tiens, une sortie cinématographique intéressante le 23 août !
Sur les marchés les melons tiennent le haut du pavé
à côté des bibis qui flottent au vent
Les terrasses de la place Plum' n'ont pas encore investi le trottoir
On se met à l'ombre sur le marché aux fleurs, boulevard Béranger
Tandis que les jets d'eau de la place Jean Jaurès n'en finissent pas de jaillir
Seul sur les quais, François RABELAIS semble se morfondre. Patience François ! Bientôt les étudiants vont de nouveau venir te tenir compagnie !
Et avant de rentrer, vous vous laisserez bien tenter par un de ces beaux pains ronds que fabrique Willy dans sa boulangerie de la place du Grand Marché. Vous en couperez une tranche que vous badigeonnerez copieusement de rillettes, de Tours évidemment !
Et voilà une saison de plus qui s'achève...
16:54 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (4) | 
| 
Facebook
Commentaires
Par le biais de "la carte aux Trésors", nous venons de découvrir une partie de ta région, une superbe région !
Logeant à AZE près de Vendôme, nous sommes passés par Tours pour visiter un château.
Lors de notre prochain séjour, je te solliciterai pour nous donner une liste de lieux remarquables à visiter autour de Tours.
A bientôt,
Christian
Écrit par : christian | mardi, 22 août 2006
Écrit par : tinou | mercredi, 23 août 2006
surtout ne change rien à l'ordonnancement des commentaires. Je viens de faire remarquer sur ton blog "principal", avec le sens du pinaillage qui me caractérise, que les commentaires n'étaient pas en face des photographies. Or, je n'ai peut-être pas été assez clair en parlant de jeu de piste, mais je trouve ça très bien. Le poète et théoricien Isidore Isou, qui était certes frappadingue mais que je trouve très profond, rêvait d'un théâtre et d'un cinéma discrépants, c'est-à-dire où rien ne concorderait. Cette note, exemplairement, me semble témoigner d'un tel désir de discrépance. Qu'ils sont beaux ces palmiers-films, ces melons-Bacri, ces chapeaux melon (eh oui!), ces chapeaux-terrasses, ces chaises-fleurs, etc. De quoi me réjouir. Finalement, vivent les péripéties techniques, qui réinventent l'art du reportage !
Écrit par : Guillaume | dimanche, 27 août 2006
Écrit par : Guillaume | dimanche, 27 août 2006
Les commentaires sont fermés.